Avez-vous déjà été dans une situation où vous devez faire parler quelqu’un ? Vous savez à quel point cela peut être délicat, n’est-ce pas ? Avec certaines personnes, nous pouvons nous sentir bloqués, mais quelle est ma technique infaillible pour faire parler quelqu’un ? Nous allons voir ensemble une méthode que j’adore.
Créer un sentiment de confiance : ce que l’on sait
Afin de démarrer une bonne conversation, il est essentiel de mettre la personne à l’aise et de lui offrir un sentiment de sécurité. Qu’il s’agisse d’une rencontre, d’un échange amical, d’une discussion avec son conjoint ou d’une vente, la confiance reste la clé. Je le dis et je le répète.
Lorsque vous établissez un climat de confiance avec la personne que vous souhaitez faire parler, la personne se sent à l’aise : elle ressent un sentiment de liberté. Ainsi, elle parle sans avoir l’impression d’être jugé, regardé, analysé. Comme par exemple en cas de phobie de la conduite, faites-en sorte que la personne en face de vous soit alignée avec ses valeurs, ses attentes et son bien-être : n’imposez rien.
L’absence de jugement et un lien de confiance sont des points à retenir afin de susciter l’envie de communiquer. Pour cela, utilisez votre langage corporel : un sourire authentique, un contact visuel stable et une posture ouverte. Les actions comptent tout autant que les mots, ne l’oubliez pas.
D’ailleurs, vous pouvez travailler votre auto-empathie afin d’avoir un regard plus doux sur vous et donc vous sentir prêt à faire parler quelqu’un. Si vous doutez de vos atouts et de vos forces, vous serez dans la même position que la personne en face. Or, vous désirez offrir un cocon, un sentiment de sérénité dans l’optique d’obtenir ses mots, ses vérités, sa réalité. L’auto-empathie est un domaine que l’on travaille chaque jour, que l’on apprend à dompter.
Les réseaux sociaux : un plus à ne pas négliger
Mal compris, les réseaux sociaux apportent une opportunité incroyable d’approfondir l’écoute active de l’autre et de dynamiser la conversation. A ce titre, il est important de les utiliser à bon escient.
Centres d’intérêt, passions, regards sur la vie, vous dénichez des sujets pertinents pour un échange construit et authentique. Pour échanger convenable avec autrui, rien de mieux que de discuter d’un sujet qui l’intéresse, vous en conviendrez.
L’art de la question ouverte pour faire parler quelqu’un
L’un des outils les plus connus afin de faire parler quelqu’un est la question ouverte. Contrairement à une question fermée, qui nécessite une réponse par oui ou non, une question ouverte invite la personne à s’exprimer, à développer et à partager ses pensées et ses ressentis.
N’hésitez pas à utiliser des expressions comme « Comment te sens-tu à propos de… », « Que penses-tu de… », « Peux-tu me dire plus sur… ».
Ces phrases simples et faciles s’avèrent efficaces car elles confèrent à la personne la liberté d’explorer et d’énoncer ses idées sans se sentir dirigée.
L’écoute active : la meilleure méthode pour faire parler quelqu’un
L’écoute active fait défaut à un grand nombre d’individus de nos jours. Lorsque vous écoutez activement, vous démontrez à l’autre personne que vous valorisez ses idées et ses sentiments. Vous ne faites pas que l’entendre, vous êtes attentif, présent et vous répondez concrètement. Vous créez un espace sûr : vous lui créez son espace, son nid douillet.
L’écoute active implique de réagir de manière appropriée à ce que l’autre personne dit, d’encourager la conversation avec des manifestations d’approbation et des attitudes d’encouragement, et de reformuler ce qui a été dit pour assurer une bonne compréhension.
La technique infaillible pour faire parler quelqu’un n’est pas une formule magique, mais une combinaison de plusieurs éléments : susciter la confiance, poser des questions ouvertes et pratiquer l’écoute active. Le plus important est d’adopter une approche sincère et empathique afin de valoriser la personne en face. Après tout, une bonne conversation n’est pas seulement une affaire de parler, mais aussi et surtout d’attention.
Si vous n’arrivez pas à vos fins, faites preuve d’auto-empathie.
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